lundi 4 avril 2011

Le CV (suite)

Tout dépendamment du type d’emploi pour lequel vous appliquez, vous pouvez jouer avec la mise en page de votre CV afin qu’il soit le reflet de votre personnalité. Les employeurs ne s’entendent pas lorsqu’il s’agit de définir « LA façon » de présenter un Curriculum vitae.
De plus, il est primordial de se renseigner sur l’entreprise d’embauche. Il faut être au courant de leur façon de travailler, des objectifs de l’entreprise, de leurs valeurs, etc. Ces informations vous seront précieuses lorsque vous aurez à rédiger votre lettre de présentation ou encore lors de l’entrevue si vous y êtes convoqué…
Utilisez des mots clés qui sont présenté dans la demande d’emploi afin de rédiger votre CV (par exemple : dynamisme, capacité de rédaction, etc.).
À suivre… 

Le CV

D’entrée de jeu, je vous dirais qu’il est reconnu que les employeurs accordent peu de temps à la lecture du CV.  Le choix des candidats à convoquer en entrevue se fait souvent assez rapidement.
On dit qu’un cv est parcouru du regard en moins de 30 secondes.
C’est la première page du CV qui est importante.
Dans un même ordre d’idée,  je dirais qu’il est plus intéressant d’avoir une page de CV pertinente plutôt que deux pages remplies e données peu pertinentes dans le cadre de l’emploi désiré.
Le CV ne doit pas contenir toutes les informations de votre parcours scolaire et de vos expériences en milieu de travail. Il faut cerner ce qui est intéressant pour l’emploi que l’on veut obtenir.
Afin que votre CV soit efficace, il est judicieux de l’adapter  avant chaque envoie étant donné que les exigences, les responsabilités et les contextes de travail sont différents d’une job à une autre.
À suivre…

dimanche 3 avril 2011

L'autre avenue

À près de trois semaines de la fin de la session, avez-vous songé à travailler autrement? Je m'explique. Le fait d'étudier en communication nous permet de prendre une foule d'avenues compte tenu de la polyvalence et de la viabilité de notre domaine. Que ce soit en web, en relations publiques, en publicité, en journalisme, et toutes les petites artères qui s'y imbriquent, nous ne sommes pas obligés de rester enfermés dans une routine métro-boulot-dodo. Voyez-vous où je veux en venir?

Pourquoi ne pas faire notre job du confort de ... l'étranger! Eh oui, pour les plus aventureux, pourquoi ne pas partir explorer ce que le reste du monde a à nous offrir? Il y a tant à voir, à découvrir! Bien entendu, ce ne sera pas plus facile de se trouver un emploi stable ailleurs qu'ici, même que ça peut demander encore plus d'acharnement. Toutefois, il y a quelques options à ne pas mettre de côté.

1. La formule voyage-travail, pour faire de l'argent en vous permettant de voyager en toute liberté. Cette option ne vous propulsera pas au sommet d'une organisation en communication puisque c'est principalement pour vous permettre de faire de l'argent de poche tout en vivant la culture d'un autre pays. Le programme SWAP (www.swap.ca) vous offre un éventail de pays à visiter sur une période de 6 à 12 mois en général. Il vous aide avec toutes la paperasse, les visas, les banques et l'hébergement. Vous ne reviendrez peut-être pas avec une expérience en communication telle quelle, mais vous pouvez débuter par l'écriture d'un blogue par exemple pour relater les anecdotes de votre périple. Ce blog peut également vous servir de rédaction pour votre porte-folio, si besoin est. Qui sait, peut-être aussi que vous trouverez une opportunité sur place. Sinon, vous ne reviendrez pas les mains vides, une expérience de voyage, en plus d'être exaltante, est toujours intéressante pour les employeurs en communication puisqu'ils recherchent des gens qui s'intéressent à une foule de sujet dont la culture et la proximité des gens, que vous gagnerez évidemment lors de votre séjour.

2. La formule stage, pour gagnez de l'expérience tout en s’imprégnant d'une autre culture. Cette formule vous permet d'acquérir une véritable expérience de communication, mais dans un contexte différent, avec des lois, des règlements et une façon de communiquer propres au pays visité. Vous allez pouvoir prendre le pouls du pays, peut-être même l'adopter. Les employeurs sont toujours ravis de voir une expérience qui sort de l'ordinaire. La culture, la langue, l'expérience sont des atouts fort en demande dans les entreprises. Cela vous permettra également de vous bâtir un réseau plus élargi qui vous donnera accès à plus de portes.

3. La formule voyage, pour la simplicité et le bonheur de la chose. Voyager permet à la base bien des choses. Effacer les barrières du langage, apprendre d'une autre culture, apprendre de l'expérience des gens, apprécier tout ce que l'on a, savourez les moments les plus simples, prendre son temps. Finalement, cela permet de grandir, d'approfondir sa personne et de rentrer plus mûr et plus prêt pour un job. Rien ne vous empêche encore une fois de rédiger un blog ou encore de trouver des opportunités sur place.

Le voyage forme le coeur et l'esprit. C'est le temps d'en profiter si vous n'êtes engagés nul part pour l'instant. C'est un entre-deux parfait pour partir quelques mois et profiter de la vie. Nous avons trimé dur durant ces trois dernières années, il est temps d'en récolter les fruits!

Avez-vous fait un stage durant vos études?

Dans trois semaines, je serai finissante au baccalauréat en science de la communication de l’université de Montréal et je pourrai enfin entrer dans le cours des grands. Seul petit bémol à l’horizon: je n’ai pas d’expérience…
En effet, je n’ai fait de stage, durant mes études. Ce n’est pas que je ne voulais pas en faire un, c’est plutôt que la majorité étaient non-rémunérés. Je ne pouvais, malheureusement, pas me le permettre, puisque je devais payer les factures et j’habite une moitié de la semaine à Montréal et l’autre sur la rive-nord. Cela été, donc, un peu compliqué à gérer pour moi. J’ai donc attendu à la fin de mon parcours, plus particulièrement cet été, pour me chercher un stage. Par ailleurs, il devra être non-crédité, car j’ai réussi la totalité de mes cours. Je suis présentement en pleine recherche mais je n’ai pas encore trouvé l’opportunité que je cherche. Néanmoins, je ne baisserai pas les bras, je vais bien finir par trouver la perle rare!
Est-ce que quelqu’un est dans la même situation que moi?
J’aimerais beaucoup entendre votre histoire.
De plus, êtes-vous du même avis que moi pour dire que le fait que les stages ne soient pas obligatoires, à l’intérieur de notre formation est une lacune importante du programme?







Les ressources disponibles

Plusieurs entreprises existent afin d’offrir leur aide aux travailleurs désireux de se dénicher un emploi; à temps plein, à temps partiel, pour les étudiants ou encore dans le domaine convoité. Bien entendu, la plus part d’entre vous, qui lirez ceci, serez intéressé par le dernier type de recherche d’emploi : celui qui est connexe à votre domaine d’étude.
En communication, il existe une multitude d’offre d’emplois différents, mais qui ne sont pas toujours à porter de la main. Plus précisément, qui nous intéresse à nous, finissant(e)s au baccalauréat en communication, et lesquels nous ne savons pas où trouver ou plutôt ou les chercher.
Tout d’abord, plusieurs événements prenant place chaque année sont disponibles pour les gens à la rechercher d’emploi. De nombreux employeurs s’y retrouvent et offrent la possibilité de rencontres directes et personnalisées. C’est le cas du Salon Carrières et Emplois en collaboration avec La Presse qui se déroulera au Palais de Congrès de Montréal, le 19 et 20 avril prochain entre 12h et 19h et entre 10h et 17h. L’entrée est gratuite et vous avez la possibilité de vous y inscrire en ligne via le : https://www.ecarrieres.com/fr/candidats/inscription.php, pour plus de visibilité auprès des exposants. C’est une opportunité en or de vous y dénicher un emploi en communications puisque rien ne vaut une rencontre en personne avec l’employeur. De plus, si les dates de présentation du Salon Carrières et Emplois ne vous conviennent pas, ils offrent également leur salon sous forme virtuelle. Alors, il n’y a pas raisons de manquer cette belle opportunité.
Sinon, comme les salons ne se font pas une fois par mois, d’autres moyens, tel que les sites internet sont là pour vous aider. Voici quelqu’une de ces entreprises qui peuvent vous aidez à trouver un emploi dans le domaine des communications.
-Isarta : Site offrant des emplois en communications, marketing, vente, Web et graphisme. Vous pouvez y consulter les offres d’emplois en vigueur et vous rendre sur place donner votre C.V.; créer votre profil en ligne pour ajouter votre candidature à la banque de C.V. disponible pour les employeurs; ou demeurer informé des derniers développements.
-Le grenier aux nouvelles : Toutes les nouvelles dans l’industrie des communications y sont disponibles, ainsi que des chroniques et des blogs. Ce qui nous intéresse : les offres d’emplois dans le domaine des communications. À ne pas manquer.
- Université de Montréal : Bien sûre, comment oublier toutes les offres d’emplois et de stages offerts par l’intérim de Patricia Clermont, coordonnatrice des stages et des relations avec les diplômés. Informations sur les stages, offres de stages, descriptions et responsabilités, préparation d’une offre de stage, documents d’informations et formulaires plus, les activités offertes pour préparer votre C.V., votre entrevue et votre stage.
-Infopresse : Ce site internet s’adresse aux travailleurs en marketing,  publicité et communications. On y retrouve : actualités, conférences, formations, publications, concours et sans oublier, les emplois offerts dans votre domaine.
Voilà, en espérant que ces quelques informations vous aiderons dans votre recherche de stages et/ou d’emploi. Il est certains que le nombre de sites offrant ce type de service est illimité, mais ceux-ci vous seront plus utiles car ils œuvrent dans votre domaine de formation.

Bonne chance à tous et à toutes!

Catherine

lundi 28 mars 2011

L'entretien d'embauche

Vous êtes à la fin de votre parcours universitaire?
Vous désirez, maintenant, dénicher un emploi dans le domaine des communications?
Les entretiens d’embauches sont une source de stress intense pour vous? Pas de panique! Voici quelques conseils pratiques qui vous permettront de vous en sortir haut la main. 

En premier lieu, vous devez convaincre votre interlocuteur que vous êtes la bonne personne, la perle rare que l’entreprise recherche. Pour cela, il n’existe pas de recette magique. Il faut tout simplement bien se préparer.
Ci-dessous, vous trouverez quelques conseils pratiques qui vous permettront d’arriver prêt et sûr de vous-même en entrevue :
  •     Il faut, tout d’abord se poser la question suivante: « pourquoi veut-on travailler pour cette entreprise? » En effet, il est important de connaître nos motivations, ce qui nous incite à poser notre candidature pour ce poste en particulier. Ce peut être parce que l’entreprise est située près de chez nous, parce que le domaine dans laquelle elle évolue nous intéresse grandement (éducation, santé, technologie, mode,…) ou bien parce que les valeurs que celle-ci prônes nous rejoints directement. Surtout, n’hésitez pas à utiliser des exemples personnels, pour appuyer vos propos!

  • Ensuite, comme il est mentionné plus haut, il faut convaincre la personne assise en face de vous que vous êtes la bonne personne pour le poste convoité. Pour cela, il faut appuyer vos propos avec des exemples et des arguments personnels, que ce soit par des expériences de travail antérieures, par vos compétences acquises au fil du temps ou bien des cours que vous avez suivis durant votre formation.

  • Un autre point important avant de passer un entretien d’embauche, est de s’informer sur l’entreprise. Montrez que vous avez de l’intérêt pour cette organisation. Faites des recherches sur l’actualité, sur leurs projets en cours, sur leurs valeurs, etc.

  •   Par la suite, vous devrez convaincre votre interviewer que vous avez les compétences professionnelles nécessaires pour combler les exigences du poste. Pour se faire, appuyez- vous sur vos réalisations passées, sur ce que vous connaissez du poste en question et sur la façon dont vous vous projetée dans ce poste.

  • Par ailleurs, il faut convaincre le recruteur sur la manière dont vous allez vous adapter au mode de  fonctionnement et à la culture de l’entreprise. Pour se faire, misez sur votre personnalité et vos expériences antérieures.

  • Ensuite, il est important de rester naturel durant l’entrevue. Restez vous-même! La personne qui vous interroge veut vous voir vous et non discuter avec un robot!

  • Évidemment, arrivez à l’heure, lors d’un entretient. La ponctualité est une qualité importante pour plusieurs employeurs. De plus, habillez- vous convenablement pour l’occasion et aillez l’air naturel. Par ailleurs, tenez-vous droit et regarder toujours le recruteur droit dans les yeux. Ceci démontre que vous avez de l’assurance et de l’intérêt.

  • Finalement, voici un dernier petit truc fort important lors d’une entrevue : lorsque vous avancez une information, imaginez toujours la question « pourquoi? » derrière.
Par exemple :
« Je suis capable de faire un plan de communication »
« Pourquoi? »
« Parce que, j’ai dû en élaborer plusieurs, lors de mon dernier stage. »
Ou
« Je suis une personne qui s’adapte facilement à un nouvel environnement. »
« Pourquoi? »
« Parce que, dans le passé, j’ai dû jongler avec des contextes professionnels très différents et j’ai su à chaque fois bien m’adapter. »

Voilà, vous avez maintenant les outils en main, pour bien vous préparer à votre prochain entretien d’embauche.

Bonne chance!
Julie



Sources
GIBOT Tania, consultante APEC, L’entretien d’embauche : comment bien le préparer?, http://www.youtube.com/watch?v=pR7RTLBG9d8 (page consultée le 7 mars 2011)
GROLEAU Marc, ex- recruteur, Polytechnique Montréal, Le génie en première classe : préparation de l’entrevuewww.polymtl.ca/sp/etudiant/rliberte/preparation.php (page consultée le 19 mars 2011)



lundi 21 mars 2011

Stage en relations publiques

Avez-vous pensé à faire un stage durant vos trois années de bac? En avez-vous déjà fait un?

Pour ma part, je voudrais vous relater mon expérience de stagiaire en tant qu'adjointe aux communications à la Fédération québécoise des directions d'établissements d'enseignement (FQDE). Grosso modo, c'est la fédération qui gère les 2500 directions d'écoles publiques à travers la province de Québec.

C'était une expérience incroyablement enrichissante, autant sur le plan professionnel que personnel. J'ai su mettre à profit plusieurs théories apprises en cours, par contre la pratique est loin de ressembler à la théorie la plupart du temps! C'est pourquoi je crois qu'il est important de faire un stage, ou bien de baigner un tant
soit peu dans l'univers des communications. J'ai également tiré parti de cette expérience sur le plan personnel puisque je sais désormais ce qui me plaît le plus, dans quel secteur des communications je veux débuter ma carrière, quelles compétences j'ai déjà acquises au fil du bac versus celles que je dois approfondir.

Mon stage s'est étalé sur la session d'hiver 2010 puisque je l'ai fait créditer. Malheureusement, je n'ai pas aimé le processus d'évaluation du stage. L'université (de Montréal) ne tient compte que du rapport final d'une vingtaine de pages à remettre à la toute fin de la session. Aucun suivi avec le maître de stage, mis à part une petite évaluation qui ne compte pas dans la note finale. Également, le stage crédité est d'une durée de 140 heures, comparé à un cours de 45 heures. Toutefois, ce n'est pas du tout une mauvaise chose si l'on veut bien apprendre. Je soulève simplement ici l'importante charge de travail en surplus des heures passées en milieu professionnel qui ne sont pas évaluées. Je vous suggère donc de faire un stage, libre à vous de le faire créditer ou non, mais je pense que ce n'est pas obligatoire. Beaucoup de gens se demandent si c'est préférable, à mon humble avis, faites un stage pour l'expérience et non pour les crédits ou la note qui viendra s'y greffer.

Pour bien vous résumer mon expérience de stagiaire dans le milieu de l'éducation, je vous présente un article que j'ai rédigé dans le journal interne de la FQDE se trouvant dans toutes les écoles publiques de la province. Je devais parler brièvement de mon expérience de travail dans l'organisation. Bonne lecture :)

***

Échanger, c’est éduquer 
Avoir une mère ayant pour profession la direction d’un établissement scolaire m’a plongé dans l’univers de l’éducation toute mon enfance et mon adolescence. Aujourd’hui, j’étudie en communication à l’université et depuis le mois de janvier, je suis stagiaire à la FQDE à titre d’adjointe aux communications. Avec le recul des années passées à apprendre du système scolaire québécois et à écouter les anecdotes de ma mère, je comprends bien les rouages des établissements scolaires et les polémiques impliquant ceux qui font vivre l’école à plein temps. Lorsque j’ai appris que j’allais faire mes premiers pas sur le marché du travail dans ce milieu, j’ai su que j’allais m’y plaire.

Au commencement de mon stage, je ne pensais qu’à l’application des théories vues en cours. J’étais excitée à l’idée de faire des relations publiques et de prendre part activement (enfin!) à un rythme de vie trépidant où s’enchaîne événements, émissions de télévision et relations de presse. Cependant, les relations publiques ne s’arrêtent pas seulement qu’aux médias et aux grands apparats. C’est d’abord et avant tout l’intérêt de communiquer avec son public le plus proche, les directions d’établissement, qui est au cœur des préoccupations de la FQDE. Cet échange n’existe pas non plus sans la compréhension de la lutte au quotidien pour la réussite des élèves, pour le maintient des relations de confiance et pour faire perdurer un environnement harmonieux. Travailler à la FQDE m’a fait prendre conscience que c’est désormais plus qu’un milieu d’apprentissage académique pour moi, c’est devenu un lieu où je peux faire ma part. Il y a de cela à peine quelques années, j’étais à la place de tous ces jeunes. Certes, la réalité perçue en tant qu’élève et celle en tant que professionnelle est différente et je peux à présent contribuer au mieux-être des jeunes.

La FQDE œuvre de concert avec les directions d’établissement vers la réussite et l’épanouissement des élèves. Ce que vous ne savez peut-être pas c’est qu’elle essaie d’instaurer des moyens de communication axés sur l’échange d’information et des outils de travail facilitant l’action et aussi la rétroaction à l’intérieur des établissements scolaires. J’ai la chance de travailler avec des personnes d’exception qui me poussent sans cesse à questionner le rôle des communications dans le milieu de l’éducation, et ainsi à me positionner face à cet environnement et à moi-même. C’est par ce processus que des idées novatrices prennent forme et améliorent le sort des écoles d’aujourd’hui. En plus, avec l’ère d’internet et du Web 2.0, les communications sont devenues indispensables dans un monde où chaque élève clavarde ou surf sur Facebook ou encore sur Twitter. Comment atteindre la tête et le cœur de ces jeunes si vous ne parlez pas leur langage? Un professeur m’a dit que « c’est en communiquant qu’on se rapproche des gens ». Se rapprocher des gens, c’est les comprendre. C’est avec cette compréhension d’autrui que nous pouvons avancer vers un système d’éducation de qualité supérieure.

Eve-Gabrielle Bissonnette, 
stagiaire à la FQDE